La dernière fois que je suis allée courir, je me suis découragée. Alors, d’abord j’ai porté mon attention sur les différentes parties de mon corps, puis sur mes cinq sens, les bruits, le paysage, le vent sur ma peau, les odeurs… C’était beaucoup plus agréable que de penser à la difficulté. J’étais fière de moi et j’ai couru plus longtemps que d’habitude.
L’avis du sophrologue : Un grand bravo et une magnifique illustration de la sophrologie applicable à toutes les situations de la vie, comme un art de vivre.